Une rencontre d’information et d’échanges s’est tenue ce mardi 26 mars à Médina Yoro Foula afin d’expliquer aux différents acteurs du système éducatif les enjeux du modèle d’enseignement bilingue et de dissiper toute ambiguïté quant au choix des langues locales retenues. Cette initiative marque une étape importante dans la mise en place d’une éducation plus inclusive et adaptée aux réalités linguistiques du pays.
Dans le cadre de cette phase pilote, dix écoles élémentaires ont été sélectionnées pour expérimenter ce nouveau modèle pédagogique. Cinq langues locales ont été choisies pour assurer cet enseignement : le poular, le soninké, le mandinka, le wolof et le sérère. Selon le secrétaire général de l’Inspection de l’Education et de la Formation, Bamba Boye, cette démarche vise à améliorer les performances des apprenants en facilitant leur apprentissage par l’utilisation de leur langue maternelle.
L’inspecteur Boye a indiqué que la mise en œuvre de ce programme a commencé par le renforcement des capacités du corps de contrôle ainsi que la formation du personnel enseignant. Ce dernier a été doté de supports pédagogiques, de même que les parents, afin qu'ils puissent mieux encadrer et accompagner les apprenants à domicile.
« L’adoption de l’enseignement bilingue se justifie par le fait que les élèves performent mieux lorsqu’ils apprennent dans leur langue maternelle. C’est également une question de souveraineté, car jusqu'à présent, l’enseignement se faisait exclusivement en français, une langue étrangère », a souligné l’inspecteur Boye.
Cette rencontre a permis de répondre aux interrogations des acteurs de l’éducation et de préparer le terrain pour une mise en œuvre efficace de ce modèle qui ambitionne de transformer l’enseignement au Sénégal.
Dans le cadre de cette phase pilote, dix écoles élémentaires ont été sélectionnées pour expérimenter ce nouveau modèle pédagogique. Cinq langues locales ont été choisies pour assurer cet enseignement : le poular, le soninké, le mandinka, le wolof et le sérère. Selon le secrétaire général de l’Inspection de l’Education et de la Formation, Bamba Boye, cette démarche vise à améliorer les performances des apprenants en facilitant leur apprentissage par l’utilisation de leur langue maternelle.
L’inspecteur Boye a indiqué que la mise en œuvre de ce programme a commencé par le renforcement des capacités du corps de contrôle ainsi que la formation du personnel enseignant. Ce dernier a été doté de supports pédagogiques, de même que les parents, afin qu'ils puissent mieux encadrer et accompagner les apprenants à domicile.
« L’adoption de l’enseignement bilingue se justifie par le fait que les élèves performent mieux lorsqu’ils apprennent dans leur langue maternelle. C’est également une question de souveraineté, car jusqu'à présent, l’enseignement se faisait exclusivement en français, une langue étrangère », a souligné l’inspecteur Boye.
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